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tard le soir
21/04/2006 08:39
Quand on grandissait chez nous On prenait l'habitude d'être emmerdé par les flics Ils nous suivaient en bagnole puis s'barraient Où bien ils nous arrêtaient sans raison et nous interrogeaient Surtout avec une caisse comme la mienne Une 5 litres avec des dayton's on était bon à tous les coups
{Refrain:} Ils aiment nous contrôler parce qu'on traîne tard le soir Y a plus d'espoir quand ils arrivent on s'évade par le toit Envoie des coups cheveux courts et aux sécheurs de cours Balancent leur douilles parce qu'on est fou et qu'on s'en bat les couilles Ils aiment casser les portes et insulter les mômes Taper les pauvres, oublie les poings répond avec les mots Les Ulis drame là où l'bonheur apparaît partiellement Entre les flics et l'juge bientôt j'vais porter plainte pour harcèlement
Dans leur pays c'est la douleur alors depuis laisse-moi leur dire 2 mots Maintenant tu pars en tôle à cause d'un style ou d'une couleur de peau C'est la misère, des keufs bourrés veulent jouer aux impulsifs Des coups d'fusils et des contrôles de faf plus qu'abusif Tout leur déplait, ma façon d'vivre, ma ville, mon rap aussi Narguant leur putain d'loi jrap en argot pour flinguer Sarkozy Mais comment ça la police traque tous les squatters de halls Enferme tous les leur-dea, laissant dehors tous les violeurs de mômes Les keufs tabassent et ces tards-ba t'empêchent de t'évader Leurs lois sont anti-tess Mais ces pétasses n'y sont jamais allées Comment les croire ils font semblant Refuse ma façon d'voir, Ok Comment vous l'dire mes votes sont blancs parce que mes potes sont noirs Alors j'avance seul dans mon coin, en rallumant mon join y a des fourgons blindés à chaque ronds points Les Ulis drame là où l'bonheur apparaît partiellement Entre les flics et l'juge bientôt j'vais porter plainte pour harcèlement
{au Refrain}
Un jour un flic m'a dit tu f'ras moins l'fou quand tu mangeras mon gun Peut-être mais pour l'instant dégages ta gueule laisse moi sortir mon skeud Je sais c'que c'est ce s'ra l'mitard si t'as des origines Ce s'ra 10 piges en tôle parce que ces chiens veulent te mettrent au régime Je sais d'quoi j'parle parce que mes gars sont tous des galériens Enfant d'une mère française et d'un père algérien Maintenant tu l'sais alors avance où bien fait comme tu peux En 2003 la guerre c'est les baggy contre les costumes bleus Nos mères ont peur et moi j'en pleure des lyrics attristés Moi dans mon ciel il pleut des balles mais j'ai su m'abriter Juste un morceau pour qu'ils périssent et pourrissent dans leur coin C'est vrai j'en suis navré eux ils m'aiment pas moi j'les aime encore moins Son 4 étoiles pour que les shtars dévie ma trajectoire Ici j'suis pas chez, maintenant je l'sais j'apprend à marcher droit Au bord du gouffre le son étouffe et les jours sont trop longs Et les condés veulent jouer aux cons mais dans la rue c'est nous qui contrôlons
{au Refrain}
Commentaire de yann (21/04/2006 08:39) :
pffffff ya que des rapeurs jaime pas moi dsl
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Messagea la racaille
21/04/2006 08:30
Sachez que si autant de jeunes se sacrifient ce n'est pas pour rien, Y a aucun plaisir à se suicider si ce n'est pour assouvir une faim A travers ma voix tu marches dans ma rue, Et c'que t'entends c'est c'que tu vois, lyrics tirés d'images crues, Ca craint, message a la racaille, les cibles de Sarko, Les délinquants, les narcotrafiquants On veut rotte-ca comme l'état mais rien qu' nos frères tombent et s'plombent Craignent pas assez l'enfer, les supplices de la tombe, Une journée de plus en banlieue, rien a faire comme d'hab, T'appelle un poto de galère, une vie misérable En plein après-midi, tu viens de te réveiller, Le visage enflé rien pour t'égayer, le ciel est gris, Tous les jours c'est dimanche, rien qu'tu maigris, Pourtant rien qu'tu manges, les soucis te rongent, t'rendent aigri Tu craches des glaires toxiques, vomis du liquide nocif, Par voie orale ou anale, t'es maladif, en manque de beef, Prêt à faire le mal dans le mal comme escroquer, Au risque de finir estropié, t'faire fumer, laisse croquer Tu mises ta vie sur un coup fourré, inconscient dans le fou rire, T'aimerais que tes petits frères s'en sortent comme ta caisse a la fourrière, Ca fout rien, mais trop de repos engourdit, Trop de racailles étourdies, dans le fourvoiement dégourdi Mais dans l'halam, y a pas de baraka ni a la rakba Ca s'trouve dans les prières, les rakat, Allah Akbar, RDV au Rac pour lire le journal, jouer au jeux de hasard, Se remettre de sa soirée en faisant la bise au hagal, Qui entretiennent leur réputation dans la crapulerie Avec un humour déplacé dont seules les crapules rient, Ca réjouit les uns d'voir les autres faire les gogoles, Les grandes gueules qui te font passer le temps, rien que tu rigoles, Mais finiront allongées au sol, avec une balle logée dans le crane, Enfin quelque chose là-dedans, toi qu'avait rien dans l'crane, En plus ils racontent que d'la merde, ils ont la cervelle en panne, Moi les mythos m'font mal au crane, poto il me faut un doliprane, Ca se barre en alcoolo, empeste la garde a v' comme un clodo, T'arrives menotté, pété, aux urgences avec des crocs de crados, On ne sait même plus parler, je sais que vous vous en fichez, Le visage caché, dans les reportages de condés on ne fait que s'afficher, Justifier les clichés, fiché, fichu, le quartier est cuit, On est tous des maillons faibles, c'est désolant comme notre Q.I, Et même nos petites reuss deviennent des cailles, faut leur mettre des baffes, Elles jouent les chaudes en centre de rééducation, sorties de la Maaf, Deviennent des meufs a voyous, des michtonneuses à fond dans la came, Des boîtes branchées de Paname au festival de Cannes, Elles oublient qui elles sont, de qui elles viennent, d'où elles viennent Tiennent peu de choses de leur mères, et n' pensent qu'a faire les chiennes, Se tortiller, certaines refusent de se servir de leur deux mains, De peur d'abîmer leur vernis et ce sont les mères de demain C'est grave comme l'argent a évincé les vrais valeurs, Du haut dealer au voleur, se repentir avant le malheur, Et d' s'écarter des troupeaux contaminés qui rejettent les préceptes, Rien qu'on accumule les péchés, qu'on indigne nos ancêtres, Plus de diplôme ni de formation, peu de carrières sportives Pour rester actif, monte une assos' à but non lucratif Tu peut être coursier, livrer des pizzas à domicile Porter des cartons à Rungis au marché ou être vigile Sinon ton bras s'illicite, les passent en quinze minutes, Les smicards, les bâtards, te félicitent quand tu débutes, Tu sais pertinemment que tu te feras péter y a pas de combine, Tes parents, ta copine, passent 72 heures à la crim' Empreintes, photo traitée au labo, les balances sauvent leur peau Collabos, dépôt, investigation d'la lice-po, Tu démarre sur les chapeaux de roues, sans chrono Vivre tout ce temps pour mourir ré-bou, sur des tonneaux, Une pensée au suicide et au mitard, aux lacets Dépassé par les événements, lassé de ce destin glacé Les claustros frustrés, ceux qui brûlent leurs cellules Partent tout seul en promenade, s'auto-mutilent pour une pilule Ta vie une pièce de théâtre, dans les coulisses ça ricane, Les mêmes anciens qu't'idolâtres, qui t'avancent de la came En centre de détention, en cavale jusqu'à la prescription, En provisoire, tenu en laisse par le comité de probation, Les braqueurs font la queue devant les banques, c'est sans espoir Deux-trois dans la journée butinent au comptoir Aux assises, c'est les enchères " Qui dit mieux ? " (10!15 ans! 20 ans!) Mes potes ont trop récidivé, on se reverra quand on sera vieux, Bien qu' t'ais les matons dans la poche, t'as raté le coche, Ton destin n'a jamais levé le pied sur la file de gauche, A 2-80 sur la A6-6-6 sans freins, Sous flash, flashé par le proc', choriste du juge au refrain, Et ta femme te remplacera par un type, du même type, qu'est ce tu peux faire ? Il l'accompagnera au parloir, srhab t'es son frère, Ton co-détenu c'est avec qui elle couche, qui elle attouche, Tu pense à elle tu t'touches, t'es game over, sur la touche, Pour ta daronne, c'est bien plus douloureux qu'un parloir fantôme, Elle culpabilise or c'est la rue qui t'a refilé le symptôme T'en veux à ton baveux, il en demande toujours plus, Pour fumer, faut coffrer jusqu'à t'dilater l'anus Moi je peux pas dire j'en ai rien a battre, mes frères s'rabattent, Du coté du diable et ne vivent que pour se habbate, Pour une tasse ils sabotent, pour un client il crabotent A coup d 'sebbate, s'en vendent, s'épatent Dans la violence, veulent plus se battre, Maitenant ils s'abattent sans somation S'en battent la race et le pire c'est qu'on s'adapte, Plus le temps de ré-pleu, il pleut, les Air Max plein de gadoue "Ferme la porte du hall, il caille, wesh sinon t'es un gars d'ou ?" Chacun ses antécédents, son jugement, son tempérament Chacun son mandat, son parloir, son enterrement Sa mère en deuil, ses péchés, sa Salat Ses hassanats, ça cogite, ne me racontes pas de salades, Les ghetto-métiers restent illusoires, y en a pas un qu'aboutit, On n'gagne pas l'argent a la sueur de ces outils, la taule t'abrutit T'amputes la raison, raffermit tes mauvaises passions, Fasciné par les anciens et leurs expressions, Ta mère meskina au bord de la dépression, J'appelle la racaille à une sérieuse remise en question, Pour se ranger y a mieux que l'argent, y a la religion, Se retirer des ghettos-légions, pourquoi pas quitter la région ? Quand t'es au bout du rouleau, que le système t'met la tête sous l'eau Saoulé, chercher du boulot, t'rouler des joints S'faire interpeller par ces bâtards de poulets en chemin Dans l'angoisse, traîner la poisse, comme un boulet Comme un ancien qu'a coulé, en chien qui s'fait des roulées Peur d'ton p'tit frangin, faut tailler avant de s'écrouler, Se faire trouer, écrouer à vie, échouer Vivre du RMI sans véritable ami, pour te secourir ou te secouer Pour changer y a pas de formules secrètes, j'suis pas là pour t'inciter Mais pour te dire des choses concrètes, avec véracité
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Bons moment
21/04/2006 08:27
Ya aussi des bons moments dans la téci sniper , l'Skadrille (sniper , l'Skadrille )
Je me sens dans mon élément, car en vrai on goleri (rigole) plus qu'on pleure La téci (cité) c'est hami (chaud) mais on vit plus qu'on meurt Partout pareil chez moi c'est bien quelque part Mais y'a pas de foot en salle, car y'a pas de salle à guelfar (falguière) Notre seul sport y'a les chtars top départ Le cul sur un banc on se tape des barres Laisse moi appeler, paye ta cannette, roule un zbar Venez on part à Anvers ou à Dam (Amsterdam) dès le sbah (matin) on se barre Je paye la réssoi (soirée) sur un coup j'ai pris onze barres Barbecue dans le quepar (parc) dans le poste Panam All Star Et les petits qui me demandent si je suis 16 Ar Ils sont nombreux comme les frères là-bas Vas-y sors de taule on se casse à Dakar ou Rabah Ça parle voyage des barres de rires sur les souvenirs Et quand tu n'y étais pas gars tu fais juste des sourires C'est mon ghetto et je l'aime
{Refrain:} Laisse moi ça me fait kiffer Je suis dans mon élément ma ghetto réalité C'est tellement de choses comment te l'expliquer Ici les vibes sont trop bonnes Je suis dans mon peutri (trip) + Laisse moi ça me fait kiffer Je suis dans mon élément ma ghetto réalité C'est tellement de choses comment te l'expliquer Ici les vibes sont trop bonnes
[Akéto]: Je suis dans mon élément kiffer rien faire avec les frères C'est ce genre de moments que j'apprécie à part ça A cette heure-ci y'a du bête de bédo ta sah Les bolloss (clients) affluent et tout le monde a son perso Celle-ci c'est pour ceux avec qui je tue le temps Et je compte même plus tous les oinj (joints) que j'ai tilté Je suis shité tout le temps Moi je suis un chat noir et je pue la galère Equipe de bras cassés pour un plan guezmer (merguez)
[Tunisiano]: Je suis dans mon élément le tiéquar (quartier) et l'ambiance Ni chtar (police) ni ambulance juste moi posé sur le banc Comment ça c'est la demer (merde) J'ai vu pire et je suis full up (fou) Et si dans ma tête c'est la guerre j'ai pas grandi dans une roulotte Pour les bons et les rholott (blédard ) Un ballon, un survêt crade et le Parc des Princes devient un city stade zinc C'est un long roman de bons moments et tout le temps C'est fumette, play et brettcham (chambrette)
{au Refrain}
[13 Or]: Je suis dans mon élément parce que je kiffe trop les bons moments Quand ça se passe calmement, sans violence ni armement Quand ça ricane, et surtout quand y'a de la bécane Les jours de gros plavan (plan) Et quand les petits sont à l'école Tous au 35 et qu'on n'est bon qu'à se vanner Pavaner devant le hall, avoir nulle part où aller Les jours de mariage, où les daronnes se postichent Quand Loutfi raconte des conneries en tirant sur son gros spliff (joint) Les jours où je tourne en grosse loc (locations) gonflée à bloc Et que les khenzettes (crasseuses) fassent dans leur froc Le jour où Barry et Samy seront libérables On se fera un restau et une tainp (pute) sur le grand boulevard Quand je suis au 35 et qu'on trinque zinc Les lyrics gravés dans la roche à coup de pioche Comme ceux du 9.5 je kiffe trop les moments simples, les gros samples Ma voix sur un gros son et les gros seins négro
{au Refrain}
{Instrumental}
Pas besoin de grand-chose pour être heureux Car le bonheur est dans les choses simples Zinc on n'est pas des malheureusement Y'a que le négatif que retiennent les gens La téci (cité) amène aussi de bons moments
Devant le hall quand ça charrie malment
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windows shopper!
15/04/2006 15:57
Ohh The top feels so much better than the bottom So much better
{Refrain: "clean version"} Ja you's a window shopper Mad at me, I think I know why Jada you's a window shopper In the jewelery store, looking at shit you can't buy Joe you's a window shopper In the dealership, trying get a test drive Nas you's a window shopper Mad as fuck when you see me ride by
{Refrain: "dirty version"} Nigga you's a window shopper Mad at me, I think I know why Nigga you's a window shopper In the jewelery store, looking at shit you can't buy Nigga you's a window shopper In the dealership, trying to get a test drive Nigga you's a window shopper Mad as fuck when you see me ride by
Summertime white porche carrera is milky Im on the grind let my paper stack when I'm filthy Funny how a nigga get the screw facing at me Anyhow, they aint got the heart to get at me I'll get down, southsides the hood that I come from So I dont cruise to nobodys hood without my gun You know the kid aint gonna follow that bullshit try and stick me imma let off a full clip It aint my fault you done fucked up your re-up At the dice game who told you put a G up Everybody mad when their paper dont stack right When I come around y'all niggas better act right When we got the tops down, you can hear the system thump When we rollin' rollin' rollin' Shut your block down, quick to put a hole in a chump nigga When we rollin' rollin' rollin'
{au Refrain}
niggas Love me in L.A. as soon as I pop in They come scoop me up in LAX and I hop in When it comes to bad bitches you know I got them Some from Long Beach, some from Watts, some from Compton You know a nigga wanna see how cali girls freak off After that 5 hour flight from New York I start spitting G at a bitch like a pimp man Tell her meet me at the magarane so we can do our thing She can bring the lingerie with her I suppose And we can go from fully dressed to just having no clothes She can run and tell her best friend bout my sex game Her best friend could potentially be next man Listen man, shit changed I came up from doing my thang Homey I'm holing, holing, holing shit man, the store owner watching you For something get stolen, stolen, stolen
{au Refrain}
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la puissance!
15/04/2006 15:46
Ma puissance dès qu' jarrive Sent ma rage de vivre J' respire mon époque Ma vie mon rap s'entre-choque Qu'on m'aime, qu'on me déteste Plus j'ai mal plus j' progresse Peu d' tendresse Le temps presse Si j' pars ma musique elle reste !!
J' parlais de vérité, p'tet' de la tienne Clin d'oeil au sourire Des coeurs qui saignent, cherche plus les mots Ils viennent d'eux même J' viens qu'après ta douleur qui nous hante Tristesse et joie, en nous se fait tant Dans le miroir j' me vois, j' sens ton âme me reçoit Ici chez toi, ou dans la turvoi Tous égaux avec ou sans égaux P'tet' pas le même kilométrage de méchant On meurt pas ex-aequo S' t'as pas la foi entre nous y'a quiproquo Si le ghetto a des oreilles c'est pour kiffer mes propos J'ai pris mon public entre 4 yeux en concert Et pour vous tourner les pages J'suis pas le genre de type conseille Lorsqu'il me concerne, mal aimé pour ça qu'on s'aime On n'est jamais mieux servit que par soi même Conscient que chaque jour que tu laisses Est une chance, j' suis auteur victime à la fois Pour l'ambulance, éduquer par l'absence de l'affection maternelle Il s'agit de mendier l'amour, remboursé naturel J'ai pleuré la mère en retrouvant le paternel Y'a que maintenant qu' j'ai découvert Le fond bloquer en moi-même
{Refrain: x2} J'prends tous ce que Dieu me donne La réussite, les épreuves, les Mc font s' qu'ils peuvent J'ai la barre au microphone Sur ce sens, c'est pas le son, mais la vie qui sonne
Ma vie mon rap s'entrechoque Les amis ont les chocs Les ennemis ont les pare-chocs J' tombent sur du machoc Trop choquant, les vieux chnoc Char et heurtie, mon rap a mis la rue au cloc On connaît Mezzie qui veut m' mettre à l'amende Sa devient indexant tellement j' leur rend fous La jalousie t'inventes de ces conneries Quand ça chatte, ça tchatche, ça pas du succès J'en profite pas même quand y a de la chatte Mon compte en banque est moins blindé Que mon bloc-notes, pourtant j'ai assez d'euros Pour être joyeux avec les menottes Pour s'en faire des toc-shows, juste une converse Sans cette partie j' reviens manger changer les couverts J'rappe à visage découvert, le Parisien m'a grillé Mes des lunettes de soleil en concert Ca va briller, plus que ça va crier J' rappe mieux que toi essaye pas d' l'oublier J'casse des murs, les putains part de l'immobilier J'frappe toujours le premier, à quoi bon sert discuter On t'aime pour c' qu' t'as, on te déteste pour c' qu' t'es J'me suis fait tout seul, j' traînais pas tout seul J'me fait la passe et marque tout seul J'ai de leçons à recevoir personne Pour m'en sortir y'a que la zik Les sport violents illicites, et j'enchaîne les classiques Y'a pas dit ''à surplus'', ce que j' fais c'est du surplus Et même les habitudes ne me suivent plus
{au Refrain, x2}
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